L'Association des anciens de Diables noirs handball (ADNHA), en partenariat avec la Commission nationale congolaise pour l'Unesco, organise, du 13 au 15 novembre à Brazzaville, un séminaire de vulgarisation et de sensibilisation de la convention internationale de la lutte contre le dopage.
Des jeunes sportifs et quelques encadreurs bénéficient des enseignements sur le danger du dopage dans le milieu sportif. Plusieurs thèmes et sous-thèmes seront développés durant les trois jours d'échange pour permettre aux participants de découvrir les contours du concept de dopage ainsi que ses conséquences sur la carrière des athlètes et des structures sportives.
Parmi les sujets développés le premier jour, il y a eu la vulgarisation de la convention internationale de lutte contre le dopage dans le sport par Carine Moussima-Malonga ; dopage : risques et conséquences par le Dr Yvon Rock Alongo ; puis l'amélioration de la performance sportive sans dopage, toujours par le Dr Alongo.
Pour cette première journée, les participants au séminaire ont salué l'initiative qui leur permettra de comprendre le danger du dopage, tout en ayant les moyens qui leur permettront de dissuader leurs coéquipiers et de préparer des sportifs plus performants, dynamiques et compétents.
Pour le président de l'ADNHA, Dieudonné Bonazebi, ce séminaire est une occasion de recyclage pour les athlètes qui sont issus des différentes fédérations sportives nationales. Le secrétaire général adjoint de la Commission nationale congolaise pour l'Unesco, Marcelin Gervais Ndokekia, a abondé dans le même sens pour souligner le rôle de son institution dans l'accompagnement des projets au profit des jeunes.
La cérémonie d'ouverture de ce séminaire a été patronnée par le directeur général des Sports, Jean Robert Bindélé. Il faut noter que ce séminaire fait suite à celui qui a été organisé l'année dernière à Kinkala, dans le département du Pool, au profit des dirigeants sportifs et autres cadres de sport.