La Société de transport en commun de Ouagadougou (SOTRACO) devient de plus en plus un moyen privilégié pour les usagers, en particulier les élèves et étudiants.
Ce regain d'intérêt pour le transport en commun est en soi salutaire, car il va permettre de désengorger certaines artères de la capitale. Le bémol est que ces bus circulent
souvent à une vitesse excessive, parfois au-delà de la limite autorisée en agglomération, mettant ainsi en danger des passagers. En sus de cette conduite dangereuse, les cars sont parfois surchargés avec des élèves et étudiants perchés aux portières des bus.
Ces scènes désolantes exposent les passagers à de nombreux risques en cas de freinage brutal ou d'accident. Face à cette situation préoccupante, il est plus que nécessaire de prendre des mesures pour faire respecter le code de la route par les conducteurs, car il y va de la sécurité des usagers.