Des millions de dinars et autres montants en devises ont été versés à des joueurs et à des entraîneurs sur fond de corruption, copinage et abus de confiance. On ne peut plus continuer avec ce folklore «juridique» qui tue les clubs.
Tous nos clubs (tous, sans exception) sont concernés par des litiges locaux et internationaux devant la Fifa et le TAS, entre autres, pour salaires et primes impayés à des joueurs et à des entraîneurs tunisiens et étrangers. Ce nombre colossal d'affaires a atteint un niveau incroyable, ces cinq dernières années, avec une énorme masse financière dilapidée sur des petits joueurs et des entraîneurs ratés qui, en vertu de contrats blindés, ont pu gagner beaucoup d'argent, plus qu'ils ne le valent ou qu'il ne le méritent.
Des centaines de milliers et des millions en devises sont expatriés pour payer les impayés de nos «grands» clubs, au moment où l'économie tunisienne a besoin de ses devises pour d'autres affectations. Et à la base de toutes ces crises ravageuses qui ont secoué maints clubs et risquent d'anéantir le football tunisien, ces fameux contrats signés.
Lire l'intégralité de l'article dans notre version papier du 22 novembre 2024