Initié à Kairouan (Tunisie), Meknès et Sefrou au (Maroc) et Fatick (Sénégal), le projet vise à initier et à accompagner des dynamiques de valorisation socio-économique de « produits d'intérêt territorial » en articulant les enjeux agroécologiques, hydriques, alimentaires, environnementaux et de santé des territoires.
Ce projet est financé par le Ministère de l'Europe et des Affaires Etrangères (MEAE) à hauteur de 1 million d'euros, a indiqué à l'Agence TAP, Nadhira Ben Aissa, coordinatrice du projet et enseignant-chercheur à l'Institut National Agronomique de Tunisie (INAT).
Il est basé sur une méthodologie participative, en articulant les questions de résilience hydrique, d'agroécologie, de sécurité et de souveraineté alimentaire, a-t-elle ajouté.
La même source a précisé que la délégation de Chebika (gouvernorat de Kairouan) a été choisie pour mettre en oeuvre le projet et ce pour nombreuses raisons, notamment la région recèle une zone agricole privilégiée qui comprend d'importantes superficies et plantations en irrigué et en pluvial.