Ce mouvement syndical estime qu'il n'y aurait pas de développement politique, économique et social possible à Madagascar actuellement, étant donné que les salariés ne sont pas à leur place.
Face à la situation qui règne dans le pays, le « Randrana Sendikaly » a son mot à dire. En dressant notamment le bilan de 2024 et les perspectives pour l'année 2025. Selon son Secrétaire général, Barson Rakotomanga, « la nécessité d'un accord politique avec la participation de tout un chacun pour éviter la crise ». Et d'enchaîner qu' « il n'y aurait pas de développement politique, économique et social possible à Madagascar actuellement, étant donné que les salariés ne sont pas à leur place ».
Possibilité d'une crise
À cet effet, le « Randrana Sendikaly » ainsi que d'autres syndicats craignent la possibilité d'une crise sans prise de décision à chaque niveau hiérarchique. « Cet accord politique ne sera pas seulement l'apanage des politiciens », a-t-il soutenu. Toujours est-il que les dirigeants religieux et la société civile ont lancé un appel concernant leur point de vue sur le monde politique, économique et social à Madagascar. D'après l'Organisation internationale du travail (OIT), par définition, le travail résume les aspirations de tout travailleur : possibilité d'exercer un travail productif et convenablement rémunéré, assorti de conditions de sécurité sur le lieu de travail et d'une protection sociale pour sa famille.