Geotecsol, c'est le nom du nouveau laboratoire lancé par le Groupe d'Ingénierie et de Construction (GIC). Il devra leur permettre d'avoir « une meilleure maitrise sur les délais de réalisation et une garantie de qualité ».
Le Groupe d'Ingénierie et de Construction (GIC) vient de procéder au lancement d'un nouveau laboratoire. « Le problème de la fiabilité de nos infrastructures routières et immobilières a toujours été au coeur des préoccupations de nos gouvernants et pour se mettre au diapason des normes édictées par l'Etat Sénégalais, le Groupe d'Ingénierie et de Construction a voulu innover en mettant en place un laboratoire ultra moderne répondant aux normes internationales dénommée Geotecsol », rapporte un communiqué qui nous est parvenu hier, lundi 6 janvier.
Selon le document, « le Groupe GIC a fait l'option de prendre en charge en interne ses activités de laboratoire géotechnique essentielles dans l'accomplissement de ses missions fondamentales d'ingénierie à dominante routière ». Même si « le GIC disposait déjà de son propre laboratoire lui permettant de prendre en charge en interne les activités liées aux essais géotechniques », l'installation de du nouveau laboratoire GEOTECSOL, leur permettant d'avoir « une meilleure maitrise sur les délais de réalisation et une garantie de qualité ».
Depuis plus de 30 ans, le Groupe d'Ingénierie et de Construction offre des services de conseil à travers le Sénégal et la sous-région dans un vaste ensemble de secteurs, disciplines qui couvrent pratiquement tous les domaines du génie civil. « Il y a une vingtaine d'années, l'environnement national de cabinet d'études privées opérant dans le secteur routier était caractérisé par une absence totale de bureau sénégalais, et c'est dans ce contexte que GIC a été créé.
Face à un enjeu d'ordre existentiel, la société devait par-dessus tout s'entourer de toutes les garanties pour assoir sa réputation », explique -t-on dans le communiqué. La même source d'ajouter : « L'économie nationale était profondément marquée, avec un contexte qui, toutes proportions gardées, n'est pas sans rappeler celui que nous vivons actuellement. Le Sénégal était encore sous ajustement structurel, avec son lot de contraintes et de restrictions en matière d'investissements pour le secteur routier, les dépenses publiques étaient plus orientées vers le maintien des acquis, notamment les travaux d'entretien et de réhabilitation ».