Il est temps de poser une question cruciale à ces « opposants » qui surgissent aujourd'hui comme des donneurs de leçons : devons-nous réellement les prendre au sérieux ? Ces individus, qui hier étaient au coeur du pouvoir, n'ont pas su apporter des solutions concrètes pour améliorer la vie des Gabonais. Et voilà qu'aujourd'hui, une fois évincés des affaires, ils prétendent soudainement avoir les « meilleures idées » pour gouverner. Quelle ironie !
Lorsqu'ils étaient aux commandes, où étaient leurs propositions miraculeuses ? Où étaient leurs critiques constructives ? Trop souvent, ces mêmes personnes ont privilégié leurs intérêts personnels au détriment du bien-être collectif. Ils n'ont laissé derrière eux que des promesses non tenues, des projets inachevés et une gestion approximative.
Aujourd'hui, à coups de conférences de presse et de déclarations fracassantes, ils critiquent ceux qui les ont remplacés. Mais que proposent-ils de concret ? Rien, si ce n'est un retour aux privilèges perdus. Il est facile de se poser en donneur de leçons une fois qu'on n'est plus responsable de rien.
Le peuple gabonais n'est pas dupe. Nous avons besoin d'acteurs politiques qui construisent, pas de critiques stériles. Si vous avez eu votre chance de gouverner et que vous avez échoué, ayez l'honnêteté de prendre votre retraite politique et de laisser la place à ceux qui veulent véritablement travailler pour l'avenir de ce pays.
L'heure n'est plus à l'hypocrisie, mais à l'action. Et si ces pseudo-opposants se souciaient vraiment du Gabon, ils mettraient leur énergie au service du développement et non de leurs ambitions personnelles.
Le Gabon a besoin de bâtisseurs, pas de spectateurs critiques.
Et vous, chers compatriotes, qu'en pensez-vous ?