La presse gabonaise est en deuil depuis le décès de Josiane Mbang Nguema, journaliste talentueuse et dévouée au quotidien l'Union, survenu en décembre dernier. Le 9 janvier, ses collègues, amis et membres de sa famille se sont réunis à l'église protestante calviniste, à Libreville, pour lui rendre un dernier hommage empreint d'émotion et de gratitude.
La dépouille de Josiane a été exposée à l'église protestante calviniste. La corporation lui a rendu hommage. Des hommages marqués par des témoignages poignants de ses proches et collaborateurs. Chacun a salué la mémoire d'une professionnelle exemplaire, connue pour sa rigueur, son intégrité et sa plume incisive. Josiane Mbang Nguema a laissé une empreinte indélébile dans le paysage médiatique gabonais, contribuant par ses écrits à enrichir l'information nationale.
Ses collègues de l'Union ont exprimé leur immense tristesse face à cette perte. « Josiane était plus qu'une collègue, c'était une amie, une soeur, une inspiration pour nous tous. Elle incarnait l'excellence journalistique et le respect des valeurs éthiques de notre métier », a confié un membre de la rédaction.
Les membres de sa famille, visiblement touchés par l'élan de solidarité et d'affection, ont remercié les participants pour leur soutien. « Josiane aimait son métier et donnait le meilleur d'elle-même pour informer les Gabonais. Votre présence aujourd'hui montre à quel point elle a marqué les esprits », a déclaré un proche.
Les membres de la Haute Autorité de la Communication (HAC), l'association des femmes journalistes ont témoigné de leur présence et ont déposé, chacun, un bouquet de fleurs. Les larmes étaient perceptibles, les émotions étaient aussi du rendez-vous.
Au-delà des mots, ce dernier hommage a été l'occasion pour tous de souligner l'importance de poursuivre le travail de qualité qu'elle avait entamé. Josiane Mbang Nguema restera une référence dans la profession, et sa mémoire continuera d'inspirer les générations futures de journalistes.
Qu'elle repose en paix, et que son héritage perdure.
