L'annonce de l'élection présidentielle pour le 12 avril 2025 a fait l'effet d'une bombe, et une question brûle toutes les lèvres : qu'adviendra-t-il du calendrier scolaire ?
Cette date semble poser un sérieux problème, puisque de nombreux établissements n'ont même pas fini leurs cours. Parents, enseignants et élèves se posent une foule de questions : « Les cours vont-ils être interrompus ? », « Les examens seront-ils reportés ? », ou encore « Les élèves vont-ils vraiment avoir deux trimestres seulement ? » Une chose est sûre : l'inquiétude est palpable, et les réactions, elles, ne manquent pas .
La rue et réseaux s'emballent
Dans les rues de Libreville, comme sur les réseaux sociaux, chacun y va de son avis. Entre les déclarations sérieuses et les piques humoristiques, le débat est bien lancé.
Un parent s'inquiète : « Nous savons tous ce qui se passe pendant les élections. Ça aurait été mieux de les organiser pendant les vacances. Là, ça va affecter l'avenir de nos enfants, surtout ceux en classe d'examen. On doit nous expliquer comment ça va se passer, parce que là, c'est flou . »
Et un autre ajoute : « Le 12 avril , Ce n'est pas une bonne date. Faire des cours accélérés, ce n'est pas une bonne chose pour nos enfants. Qu'ils repoussent les élections pour juillet ou aout. » ont - ils déclaré dans une conversation assisté dans un taxi.
Sur TikTok et Facebook, les internautes ne sont pas en reste. Certains expriment leur frustration :« Moi, je ne suis pas dedans oooh. Ils ne doivent même pas nous faire redoubler à cause de ça . » « Toute cette précipitation-là, c'est suspect. » « Pourquoi ne pas repousser les élections en juin ou juillet ? » Mais, comme toujours, d'autres préfèrent voir le verre à moitié plein : « C'est les longues vacances qui nous attendent . Les enfants arrêtent les cours en mars, et les classes d'examen composeront après les élections. Vive les vacances ! »
Il est clair que la situation nécessite une réponse rapide et transparente des autorités. Le ministère de l'Éducation nationale doit rapidement clarifier les mesures qui seront prises pour garantir que l'année scolaire ne soit pas compromise. Les parents, les enseignants et les élèves attendent des solutions concrètes.