<strong>Addis Abeba, le — La mise en oeuvre d'idées innovantes suite aux réformes a considérablement renforcé la capacité de création d'emplois, avec un potentiel de création d'emplois pour plus de 4 millions de citoyens par an, a dévoilé le ministre du Travail et des Compétences, Muferihat Kamil.
Muferihat, membre du Comité exécutif du Parti de la prospérité, a expliqué que ces activités ont été menées et ont abouti à des réalisations en matière de création d'emplois et de développement des compétences après le premier congrès ordinaire du Parti en mars 2022.
Dans son explication, la ministre a mentionné qu'un plan sur 10 ans a été conçu et mis en oeuvre pour répondre à la demande croissante d'emplois des Éthiopiens.
L'objectif du plan sur 10 ans est de créer 2 millions d'opportunités d'emploi par an et de fournir un emploi à 20 millions de citoyens d'ici la fin du plan.
Le plan a été révisé sur la base d'idées innovantes mises en oeuvre suite à la réforme, ce qui a augmenté la capacité de création d'emplois du pays.
Selon Muferihat, grâce à la mise en oeuvre appropriée de la politique du Parti de la prospérité, un potentiel de création de plus de 4 millions d'emplois par an a été établi pour tirer parti des créations d'emplois dans le pays.
Des opportunités ont été créées pour les Éthiopiens de travailler dans des entreprises étrangères, a déclaré la ministre, ajoutant à cet effet que plus de 80 000 opportunités d'emploi ont été créées en peu de temps.
Une approche basée sur la technologie est appliquée pour gérer efficacement les emplois étrangers, a-t-elle expliqué.
Selon elle, des efforts sont déployés pour garantir que les citoyens qui travaillent à l'étranger aient acquis les compétences nécessaires et soient préparés psychologiquement.
Un nombre croissant de citoyens partant à l'étranger pour chercher du travail sont en hausse en raison du système de soutien et de suivi mis en place après la réforme, a-t-elle mentionné.
Les EFTP ont développé la capacité d'accueillir et de former 3,5 millions de citoyens par an à travers des programmes de formation réguliers et de courte durée, selon la ministre.