L'ONU plaide pour le désarmement multilatéral et les limitations d'armement
Le 5 mars, le monde a célébré la Journée internationale de sensibilisation au désarmement et à la non-prolifération. Cette journée, qui vise à conscientiser le grand public, s’est accentuée sur l'importance du désarmement dans la prévention des conflits et la réduction des souffrances humaines causées par les armes.
Dans un message fort, le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a rappelé que « l’avenir de l’humanité dépend de l’investissement dans les mécanismes de la paix, et non dans ceux de la guerre ». Il a également souligné la nécessité de replacer le désarmement au cœur des efforts internationaux pour garantir la paix et la sécurité mondiale. (Source allAfrica)
Agression rwandaise : la SAMIDRC note la nécessité de la présence de ses militaires sur le sol congolais
Le ministre de La Défense nationale et des Anciens combattants, Guy Kabombo Muadiamvita, accompagné de la ministre d'État en charge des Affaires étrangères, Thérèse kayikwamba, ont pris part mercredi 5 juillet 2025 à la réunion extraordinaire de la Troïka du sommet de l’organe de la SADC, axée sur la situation sécuritaire de la RDC.
Cette rencontre a permis d’évaluer la situation sécuritaire actuelle du pays ainsi que de l’apport de la SADC sur la sécurisation de ce coin. (Source mediacongo)
Drames sur les sites d’orpaillage : le gouvernement malien limoge tous les responsables impliqués dans la gestion des incidents
Au Mali, le gouvernement de transition a annoncé, lors du conseil des ministres du mercredi 5 mars, le limogeage de tous les responsables (civils et militaires) impliqués dans la gestion des drames survenus sur les sites d’orpaillage, respectivement à Kokoyo, village de Danga, cercle de Kangaba, le 29 janvier 2025, puis à Bilalikoto, cercle de Kenieba, le 14 février 2025. Ces drames ont fait plusieurs dizaines de morts. (Source maliweb)
Présidentielle 2025 au Gabon : début des tests d’aptitudes linguistiques pour les candidats !
Le mercredi 05 mars 2025, la ministre de la Culture et des Arts, le Dr. Armande Longo épouse Moulengui a effectué une visite au sein du Musée national des arts, rites et traditions sis au 51 avenue Augustin Boumah où est logée la Commission d’évaluation de l’aptitude linguistique des candidats à l’élection du Président de la République. Occasion de faire le point sur le début des auditions des candidats à ce scrutin crucial pour l’avenir du pays. (Source GabonMediaTime)
En Guinée, le gouvernement annonce des élections et un référendum pour 2025
Le Premier ministre Bah Oury a assuré le retour « à l’ordre constitutionnel » dans les mois à venir. Il a également indiqué que le défi le plus important pour les autorités était lié à la constitution du fichier électoral.
« Le timing est en train d’être étudié. » L’année 2025 devrait bien voir l’organisation d’un référendum et des élections présidentielle et législatives en Guinée, a confirmé le Premier ministre Amadou Oury Bah (connu sous le nom de Bah Oury) lors d’une conférence de presse à Conakry, mercredi 5 mars. (Source Jeune Afrique)
Côte d'Ivoire : 5 ans de prison pour l’ancien patron de la police anti-drogue du port d’Abidjan
En Côte d’Ivoire, l’ancien patron de la cellule anti-drogue du Port autonome d’Abidjan et deux autres officiers ont été condamnés mercredi 5 mars à cinq ans de prison. Leur faute ? Avoir détourné une partie d’une saisie record de cocaïne.
Tout commence en juillet 2022, avec l’arrestation d’un petit dealer de drogue à Abidjan. Chez lui, les enquêteurs découvrent 37 grammes de cocaïne. Mais ce qui aurait pu rester un simple fait divers prend une tout autre tournure. L’homme se présente comme un informateur de la cellule anti-drogue du port et accuse plusieurs gendarmes de détourner des saisies. Mieux encore, il affirme que la drogue retrouvée chez lui provient d’une cargaison interceptée quelques semaines plus tôt. (Source RFI)
Le Maroc plaide pour une souveraineté climatique en Afrique
Le Maroc a réaffirmé, jeudi, devant le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine (CPS de l’UA), sa volonté de collaborer étroitement avec les acteurs africains et internationaux pour relever les défis climatiques et bâtir les fondations d’une souveraineté climatique africaine.
Le Royaume promeut un modèle africain intégré de résilience climatique, reposant sur des initiatives structurantes telles que l’Initiative pour l’adaptation de l’agriculture africaine (AAA) et l’Initiative pour la sécurité, la stabilité et la soutenabilité (SSS), combinant sécurité alimentaire, stabilité sociale et durabilité environnementale. (Source apanews)
Burkina Faso : 73 terroristes neutralisés lors d’une attaque à Djouroum
Le 10 février 2025, un total de 73 terroristes, dont des responsables, ont été « neutralisés » par les Forces de défense et de sécurité du Burkina Faso dans la région de la Boucle du Mouhoun (ouest), selon un communiqué de la Radiodiffusion Télévision du Burkina (RTB), qui cite l’armée.
Ce matin-là, un groupe de terroristes a attaqué le détachement des Forces combattantes du Burkina Faso situé à Djouroum, dans la commune de Tougan, en région de la Boucle du Mouhoun, a indiqué la télévision publique. La réponse des forces, soutenues par des moyens aériens, a permis d’infliger « de lourdes pertes » aux assaillants. (Source beninwebtv)
Cameroun : le déficit de logements estimé à 2,5 millions d’unités
Avec un déficit de logement d’environ 2,5 millions de logements sociaux, d’après les chiffres officiels, pour réduire ce gap, le pays a lancé en 2009 un programme de construction de 10 000 logements sociaux, couplé à l’aménagement de 50 000 parcelles constructibles, avec une phase pilote de 1675 logements. Le projet a déjà enregistré près de 2000 logements dans les villes de Yaoundé, Douala, Bafoussam, Limbé, Bamenda et Sangmélima. Selon le directeur général de la Société Immobilière du Cameroun de nombreux autres travaux sont en cours pour satisfaire une bonne partie des camerounais en demande de logement sociaux. (Source Africa 24)
République centrafricaine : des groupes armés accusés d'exactions
Un rapport de l'Organisation des Nations Unies fait état de graves vilations des droits de l’homme en République centrafricaine. Ces exactions ont été dirigées et coordonnées par des éléments des Wagner Ti Azandé (WTA), un groupe armé ayant des liens avec l'armée nationale.
Les assaillants ont commis des actes de violences sexuelles à l’encontre de 24 victimes, dont 14 femmes et sept filles qui ont été violées, principalement de manière collective, précise le rapport. Quatre autres filles ont été soumises au travail forcé ou mariées de force. (Source Africanews)