Pas d'amnistie pour les soldats ayant tué des civils non armés au Burkina

Amnesty International a soumis une note aux autorités de transition du Burkina Faso demandant l'élargissement du mandat prévu de la Commission d'enquête, afin que celle-ci enquête sur ces homicides et sur d'autres atteintes aux droits humains, notamment sur les 10 manifestants abattus lors des rassemblements d'octobre 2014, et sur les meurtres de Thomas Sankara et de Norbert Zongo.

Alors qu'ils affichaient clairement leurs intentions pacifiques, les soldats ont ouvert le feu sans sommation.

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