Un an après le «jeudi noir», un bilan toujours incertain au Tchad

Il y a un an, le 20 octobre 2022, le Tchad connaissait ce que tout le monde appelle désormais le «jeudi noir», soit la répression sanglante de manifestations opposées à la prolongation de la transition. Un an plus tard, aucune manifestation n'est prévue, les organisateurs des marches réprimées appellent à un « temps de recueillement ». Mais les défenseurs des droits humains continuent de demander une enquête indépendante, des poursuites judiciaires contre les auteurs et des réparations pour les victimes.

La société civile dans la rue ce jeudi 29 juillet pour dénoncer la transition

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