De: 03/03/2015
A: 06/03/2015
Lieu: Pretoria, Afrique du Sud
En moyenne, 40 à 60 % de la dépense publique est allouée aux secteurs sociaux en Afrique, un chiffre qui appelle à une meilleure gouvernance et plus de responsabilisation dans les dépenses sociales. Afin d'encourager et d'entretenir les progrès en matière de développement humain, les pays africains doivent se concentrer sur un meilleur usage et une plus grande efficacité des budgets qu'ils allouent aux services sociaux. Les ministères des Finances, de la Santé et de l'Education jouent un rôle capital dans l'allocation des ressources, s'assurant d'obtenir des résultats et de renforcer la responsabilisation dans les dépenses du secteur social.
En collaboration avec le gouvernement norvégien (NORAD), l'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI), le Projet de gouvernance et de financement de la santé de l'USAID, les partenaires dans l'harmonisation pour la santé en Afrique (OMS, Banque mondiale, l'UNICEF), les pays membres de la Communauté de développement d'Afrique australe (dite "SADC" par acronyme en anglais), l'Initiative africaine concertée sur la réforme budgétaire (CABRI) et la Fondation Gates, la BAD organise un atelier de travail dédié au renforcement des capacités pour les hauts fonctionnaires des ministères des Finances, la Santé, de l'Education et des organisations de la société civile de la région.
Quoi ? 1er événement axé sur le renforcement des capacités dans l'optimisation des ressources, la viabilité et la responsabilisation dans les secteurs sociaux
Quand ? 3 au 6 mars 2015
Où ? Pretoria, Afrique du Sud
Qui ? Les 15 pays membres de la SADC : Angola, Botswana, République démocratique du Congo, Lesotho, Madagascar, Malawi, Maurice, Mozambique, Namibie, Seychelles, Afrique du Sud, Swaziland, Tanzanie, Zambie et Zimbabwe
L'événement, qui s'adresse aux hauts fonctionnaires de la SADC, a vocation à les sensibiliser davantage, à renforcer leurs connaissances et leurs compétences en matière de dépenses dans les secteurs sociaux, pour en améliorer l'efficacité, la viabilité et la responsabilisation.