Le Secrétariat exécutif du Comité de concertation Etat/secteur privé, vient de publier ๐ฅ๐ ๐ฌ๐ข๐ญ๐ฎ๐๐ญ๐ข๐จ๐ง ๐๐๐ฌ ๐ฉ๐๐ข๐๐ฆ๐๐ง๐ญ๐ฌ ๐๐ ๐ฅ๐ ๐๐๐ญ๐ญ๐ ๐๐จ๐ฎ๐ซ๐ง๐ข๐ฌ๐ฌ๐๐ฎ๐ซ๐ฌ ๐๐ ๐ฅ๐ ๐ ๐๐ฌ๐ญ๐ข๐จ๐ง ๐๐๐๐. Selon cette note, au 31 janvier 2023, « le montant global des paiements effectués s’élève à ๐๐๐๐, ๐ ๐ฆ๐ข๐ฅ๐ฅ๐ข๐๐ซ๐๐ฌ ๐๐ ๐ ๐ซ๐๐ง๐๐ฌ ๐๐๐, sur un montant total de prise en charge de ๐ ๐๐๐, ๐ ๐ฆ๐ข๐ฅ๐ฅ๐ข๐๐ซ๐๐ฌ de Fcfa ». Ce qui selon cette source représente un taux d'apurement de ๐๐, ๐% dont ๐๐๐,๐ ๐ฆ๐ข๐ฅ๐ฅ๐ข๐๐ซ๐๐ฌ ๐๐ ๐ซè๐ ๐ฅ๐๐ฆ๐๐ง๐ญ ๐๐ฎ ๐ญ๐ข๐ญ๐ซ๐ ๐๐ ๐ฅ’๐๐ญ๐๐ญ ๐๐๐ง๐ญ๐ซ๐๐ฅ et ๐๐๐,๐ ๐ฆ๐ข๐ฅ๐ฅ๐ข๐๐ซ๐๐ฌ de Fcfa ๐ฉ๐๐ฒé๐ฌ.
Notons que depuis quelques années, au titre de la dette fournisseurs, le Trésor public veille au respect de son engagement de service qui consiste à procéder au paiement des fournisseurs avant 90 jours, selon le principe d’antériorité. Aussi, le Chef de l’Etat Alassane Ouattara a souhaité que les factures des Pme soient payer à moins de 30 jours.
Par ailleurs, la dette flottante de la gestion 2022, arrêtée en réalisation au 31 janvier 2023, se chiffre à 387 milliards de Fcfa.
Le ministre de l’Économie et des finances et l’ensemble des ministres concernés, ont été instruits récemment en Conseil des ministres, à l’effet de poursuivre les efforts pour l’apurement de la dette flottante de la gestion 2022 et pour le règlement de la dette fournisseurs de la gestion 2023, en accordant une attention particulière aux Pme