Quatre ans après l'investiture du président Évariste Ndayishimiye, les actes d'intimidation et de harcèlement, les arrestations, les placements en détention et les procès iniques visant les défenseur·e·s des droits humains, les militant·e·s, les journalistes et les membres de l'opposition n'ont pas diminué.
Dans la présente synthèse, Amnesty International examine les difficultés et les lourdes restrictions qui pèsent sur la société civile burundaise, et formule des recommandations afin d'améliorer la situation en amont des élections de 2025.
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