39 opposants espèrent obtenir leur remise en libérté au Zimbabwé

Ils ont été arrêtés lundi 12 juin, soupçonnés d'avoir participé à la démolition d'un bureau du parti présidentiel, le Zanu-PF, la semaine précédente. La défense dénonce des arrestations arbitraires et politiques.Les dégradations se seraient déroulées à Nyatsime, dans le sud de la capitale Harare. Les procureurs accusent ces membres de l'opposition d'avoir détruit plusieurs maisons et agressé des habitants.

Nelson Chamisa, chef du Mouvement d'opposition pour le changement démocratique, a déclaré aux journalistes, le 29 janvier 2019, à Harare, que l'administration du président Emmerson Mnangagwa n'avait pas pris au sérieux les informations faisant état de violations des droits humains par les forces de sécurité.

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