25% des jeunes filles meurent à cause des avortements clandestins au Congo

L'Association congolaise pour les droits et la santé (ACDS) et l'ambassade de France au Congo ont organisé, le week-end à Brazzaville, à l'occasion de la journée des « droits en santé reproductive » au Congo, une table ronde sur les avortements clandestins. Il en est ressorti que 25% des jeunes filles et 10% d'adolescents au Congo décèdent de cette pratique.

Le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki, s’est plaint le 14 novembre à Brazzaville, du taux élevé de naissances prématurées au Congo qui s’élève à 16, 3%, recommandant ainsi l’adoption de l’approche mère kangourou pour endiguer ce phénomène.

Suivez AllAfrica

AllAfrica publie environ 400 articles par jour provenant de plus de 100 organes de presse et plus de 500 autres institutions et particuliers, représentant une diversité de positions sur tous les sujets. Nous publions aussi bien les informations et opinions de l'opposition que celles du gouvernement et leurs porte-paroles. Les pourvoyeurs d'informations, identifiés sur chaque article, gardent l'entière responsabilité éditoriale de leur production. En effet AllAfrica n'a pas le droit de modifier ou de corriger leurs contenus.

Les articles et documents identifiant AllAfrica comme source sont produits ou commandés par AllAfrica. Pour tous vos commentaires ou questions, contactez-nous ici.