Washington interpelle le gouvernement libyen sur les salaires de l'ANL

C'est une affaire qui a failli menacer l'accord de paix signé il y a près d'un an à Genève. L'est libyen protestait contre le refus du gouvernement dirigé par Abdel Hamid Dbeibah de payer les salaires de l'Armée nationale libyenne dirigée par Khalifa Haftar et basée à l'est. Pourtant, ce gouvernement a continué à payer les salaires des forces suppléantes, c'est-à-dire les milices de Tripoli et de l'ouest libyen. Il a fallu la pression des États-Unis pour que les choses rentrent dans l'ordre et que la tension baisse.

Siège du département d'Etat américain à Washington.

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